Roubaix, avec ses 80 spots et 40 fresques, est un véritable musée à ciel ouvert, offrant des possibilités multiples pour le développement des arts urbains. Lieu incontournable du street art, en raison de ses programmes de résidence dédiés, la Condition Publique s’inscrit naturellement dans cette dynamique.
Qu’est-ce qu’une résidence d’artiste ?
Fidèle à sa vocation de laboratoire créatif, la Condition Publique met en scène de nouvelles formes de l’art urbain, et invite des artistes à expérimenter de nouvelles démarches. Auparavant centre d’étude, d’expérimentation et de contrôle des matières textiles, les labos ont gardé l’authenticité industrielle de la Condition Publique et sont aujourd’hui loués à des porteurs de projets innovants.
Atelier de tissage, de photographie ou de peinture, média jeune, studio de design sonore, start up zéro déchet…
Qui est Nasty ?
L’histoire de Nasty commence en 1988. Passionné par le mouvement hip hop et fasciné par les street-artists New Yorkais, Nasty oriente son travail sur les lettres simples et les couleurs acidulées, se faisant remarquer en peignant des fresques hautes en couleurs sur les trains de Paris. Il travaille surtout sur la typographie de son nom, jouant sur les associations de couleurs, de formes et d’effets.
Next Génération(s), c’est moi ?
Entre 2019 et 2022, dans un cadre patrimonial exceptionnel, les artistes vont hybrider leurs pratiques avec d’autres disciplines et investir les champs de l’urbanisme et de l’innovation sociale.
En 2017, Street Generation(s) rencontrait un immense succès :
43 000 visiteurs
50 artistes
100 œuvres
17 réalisations in situ
Tout savoir sur la Condition Publique : https://laconditionpublique.com
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